Arrivée d'un étranger venu de loin, très, très loin ...

La silhouette fantomatique avançait sur le chemin tortueux. Le soleil mourait à nouveau dans les terres du Duché, quand les murailles de Cholet lui apparurent. Après plusieurs décades à foulet les terres de France, à éviter les brigands avide de fortunes, à dormir à la belle étoile sous le couvert d'un arbre, à essuyer les assaults incessant de la pluie et du vent d'Automne, les murailles se tenait ièrement face à lui, illuminée par les flambeaux du chemin de ronde. Un sourire se dessina sur ce facier, plongé dans l'ombre de son capuchon. Sa besace était lourde, le tirait vers le sol, malgrès son maigre contenu. Sa cape était miteuse, et imbibée d'une pluie récente. Ah ! Maudite pluie ! Ces chausses étaient trouées et le froid s'insinuait dans ses mebres endoloris. Ses vêtements étaient boueux. Sa toilette laissait terriblement a désirée. Ses cheveux étaient gras et emmelés. Son seul réconfort était le fourreau de sa lame q'il tenait fermement, avec tendresse ...

L'étranger venu de loin, très, très loin, traversa le pont-levis. Les douves qui se tenaient sous ses pieds, étaient remplies d'une eau froide et meurtière. Enfin il arriva près des gardes qui se tenaient sous la hôte arche, pareil à une gueule hérissée de crocs. Ses crocs ? Une herse en fer forgé, condamné l'entrée. Derrière les barreaux, une ruelle des plus banales, illuminée par les torchères. Les badauds se pressaient dans les tavernes, lieu des plus conviviales. A nouveau, le sourire lui vint au lèvre, pensant déjà aux mets succulents qui l'attendait et la couche bien tiède qui ne tenait qu'a le recouvrir.

Mais il fut bien vite ramené à la réalitée par le garde qui s'avançait vers lui, la main sur le pommeau de sa lame. L'étranger se tint droit et prononça d'une voie puissante.

- Bonsoir messire ! Je suis à la recherche du dénommé Yyrkoon de Walsh de Serrant, me semble t'il ? L'ont m'a fait la généreuse proposition d'intégrer les rangs de la garde, afin de protéger la noble famille du domaine.

Il attendit une réponse du garde.

Corentin fut prevenu de l'arrivé d'un etranger. il se depecha de venir et fit ouvrir la grille

Messire, bienvenue, j'espere que votre trajet ne s'est pas trop mal passé ...
je me presente, Corentin, capitaine de la garde Angevine.

je vous en prie entrez!

Un homme d'arme, qui se révela être le capitaine de la garde, fit son apparition. Le garde qui se tenait près de lui, s'écarta vivement, laissant la place à son supérieur. Le capitaine s'adressa alors à lui.

- Messire, bienvenue, j'espere que votre trajet ne s'est pas trop mal passé ... Je me presente, Corentin, capitaine de la garde Angevine. Je vous en prie entrez !

Ils entrèrent dans la ville fortifiée. L'étranger ne put s'empêcher de rire, malgrès la fatigue qui le rongait, en écoutant les propos du soldat. Voilà plus de trois décades qu'il souffrait le martyre pour arriver sur le domaine, et sa n'allait vraiment pas fort. Il n'aspirait qu'au confort d'une couche. Mais ce qui l'étonnait le plus était la façon dont l'homme s'adressait à lui. Comme à un égal ... Mercenaire n'était pas un travail qui donnait envie de s'adresser avec tant de courtoisie à un barbare ... Pour cela, il fut infiniment reconnaissant envers cet homme, et espérait que les Bretons et Angevins seraient comme lui. Mais il préféra garder ses pensées pour lui.

- Eh bien non, je n'ais malheureusement pas fait un bon voyage ? Voyez-vous, je marche depuis cet satané duché de Savoie, et mes membres souffre le martyre. Si m'a retenu ne me l'interdisait pas, je m'écraserais à vos pieds, en poussant des hurlements à réveiller les morts ! Il sourit. Vous sembliez m'attendre, je ne me trompe ?

Corentin passa devant

- Eh bien non, je n'ais malheureusement pas fait un bon voyage ? Voyez-vous, je marche depuis cet satané duché de Savoie, et mes membres souffre le martyre. Si m'a retenu ne me l'interdisait pas, je m'écraserais à vos pieds, en poussant des hurlements à réveiller les morts ! Il sourit. Vous sembliez m'attendre, je ne me trompe ?

non, j'acceuille les nouveaux arrivants ces derniers jours Smile

vous verrez le dortoir vous reposera ... en ce moment Cholet est tres reposant avec la morte saison qui arrive ...

L'étranger acqueiça avec un sourire.

- Ne connaissez-vous pas une bonne auberge plutôt ? Ah oui ! Savez-vous ou je puis trouver Yyrkoon de Walsh-de-Serrant ? Il me faut le rencontrer.

Corentin eu un reniflement de dedain

vous trouverez Yrkoon dans sa caserne je pense

L'étranger semblait l'avoir froissé quelques peux, ce qui l'étonna. Son ton était dédaigneux. Il ne tarda pas à comprendre que ces deux hommes ne devaient surement pas s'apprécier. Il préféra donc ne plus aborder le sujet, et revenir à de plus douces paroles.

- Quand à cette fameuse auberge, n'auriez-vous pas une idée d'oû elle se trouve ?

Corentin se tourna a la recherche d'un batiment dans la nuit.
il tendit le doigt en direction d'un grand batiment

c'est celui la

https://leduchedecholet.forumpro.fr/l-auberge-au-lion-d-or-c7/

L'étranger suivit le chemin du regard, le chemin que le capitaine lui indiqué, et il acquieça.

- Je vous remerçis messire ! Passez une bonne soirée.

Il rajusta sa besace sur son épaule et s'engouffra dans les ruelles. Il lui faudrait tout dabord allait voir le dénommé Yyrkoon. Le sommeil attendrait ...